Enfin, presque

Archive for juillet, 2019

La partie de la République de Chypre moins importante que la direction de l’administration fédérale porte un système économique sectoriel dominé par un marché des services professionnels qui crédite des comptes dépassant un certain nombre de cinquièmes du PIB. Le tourisme, les finances, les transports et l’immobilier ont généralement été les principaux fournisseurs. Chypre est une filiale de l’Union européenne depuis le mois de mai 2004 et a adopté l’euro en tant que devise étrangère en janvier 2008. Au cours des cinq premières années d’adhésion régulière à l’UE, l’économie de Chypre a progressé à un prix moyen de l’ordre de 4%, entre 2004 et 2008, en moyenne environ 4%. Cependant, le système économique a basculé dans le ralentissement économique en 2009 en raison de la crise économique mondiale actuelle et de la baisse des attentes qui a frappé les industries du tourisme et de la construction. Un marché financier sur-étendu avec un contact extrême avec la dette grecque antique inclus dans la contraction. Les deux banques les plus importantes de Chypre ont été l’un des plus importants propriétaires des liens de la Grèce antique avec l’Union européenne et ont acquis une solide réputation en Grèce par le biais de succursales et de filiales de prêteurs. À la suite de plusieurs dégradations de l’historique de crédit, Chypre a perdu l’utilisation des segments du marché des fonds d’outre-mer en mai, éventuellement en 2011. En juillet 2012, Chypre était devenue le cinquième gouvernement fédéral de la zone euro à demander un programme de sauvetage économique à la Western Commission, Western Main. Banque mondiale ainsi que le Fonds économique mondial – reconnu collectivement comme la « troïka ». Peu de temps après les élections politiques de Leader en février 2013, Chypre est parvenue à un accord contraignant utilisant la troïka avec un plan de sauvetage de 13 milliards de dollars qui a entraîné une fermeture de prêteur de deux à sept jours, ainsi qu’une imposition de fonds gérés partiellement restés en place jusqu’en avril. 2015. Les deux plus grandes institutions bancaires chypriotes combinées ont également été recapitalisées au moyen du processus de conversion de certaines grandes institutions financières, assorties d’offres à la hausse et d’impositions défaillantes pour les créanciers obligataires. Semblable à d’autres pays de l’UE, la troïka a subordonné son sauvetage au transfert des réformes monétaires et architecturales et à la privatisation des entreprises détenues et gérées par le statut. Indépendamment de la réduction des effectifs et de la restructuration, le secteur économique chypriote reste accablé par le plus gros volume de prêts non contractés dans la zone euro, soit près de la moitié de toutes les options de prêt. Compte tenu du plan de sauvetage, Chypre a obtenu des évaluations positives de la part de la Troïka et a dépassé ses objectifs budgétaires, mais a eu du mal à surmonter l’opposition politique aux lignes directrices imposées par le plan de sauvetage, notamment en ce qui concerne les privatisations. Le taux de prêts financiers non exécutables (PNP) continue d’être extrêmement élevé, à environ 49%, et le développement augmenterait si les institutions financières chypriotes pouvaient accélérer le rythme de résolution des PNL. En octobre 2013, un consortium américano-israélien a achevé les évaluations préliminaires des gisements d’hydrocarbures dans le secteur économique exclusif (ZEE) de Chypre, qui prévoyait des stocks bruts d’environ 130 milliards de dollars cubes. Bien que l’enquête se poursuive dans la zone économique exclusive de Chypre, il n’est plus établi de magasins exploitables à des fins commerciales. La construction de sources d’hydrocarbures à l’étranger demeure un élément essentiel des tentatives de redressement économique du gouvernement, mais les progrès continuent d’être retardés en raison des avancées et des arguments nationaux concernant les stratégies d’exploitation.

En effectuant un vol en hélicoptère en Côte-d’Or le week-end dernier, j’ai découvert un joli petit village : Flavigny-sur-Ozerain. Il nous a tellement tapés dans l’oeil (à ma femme et moi, car nous étions deux à nous envoyer en l’air) que nous avons voulu le visiter sur le retour. Et c’est véritablement un village qui vaut le coup d’oeil. Lorsqu’on vient de Semur-en-Auxois, ce village médiéval se profile sur un éperon rocheux, protégé par les restes d’une muraille d’enceinte. Avec ses pierres blondes et ses toits de tuiles rouges, sur sa colline verte, il a ce charme si particulier à la Bourgogne. Il est d’ailleurs classé parmi les plus beaux sites de France. L’arrivée par la porte du Bourg (qui a depuis longtemps perdu son pont-levis) nous a vite confirmé la beauté des lieux que nous avions pressentie depuis le ciel. En revanche, ce que nous n’avions pas pressenti et encore moins senti depuis les airs, c’était l’odeur du village. Dès notre arrivée, une senteur nous a enveloppés et surpris par sa présence insistante. Elle nous a suivis dans les ruelles tortueuses, qui ne sont pas toujours en pente douce mais parfois escarpées. Un parfum d’anis si insistant qu’il enivre presque. C’est qu’il y a là en effet une fabrique de bonbons, qui est toujours installée dans l’abbaye qui, au VIIe siècle, a créé ces merveilleuses dragées connues dans le monde entier. Une graine d’anis vert enrobée de couches successives de sucre aromatisé à l’anis. Je peux vous assurer que le choix est difficile devant toutes ces boîtes rondes de toutes les couleurs, délicieusement rétro.
En dehors de ces fameux bonbons, la ville est vraiment charmante à visiter. On peut aller sur son ancien chemin de ronde, d’où la vue sur les collines de l’Auxois est magnifique. Dans les rues, ils suffit de lever les yeux pour admirer des fenêtres à meneaux et même une émouvante statue de la Vierge à l’enfant. Il y a notamment une voûte sous laquelle on peut passer, surmontée d’une maison à pans de bois, devant une curieuse tourelle encastrée dans un mur. L’église Saint-Cenest mérite également d’être visitée, ne serait-ce que pour voir sa tribune centrale en pierre, unique en son genre je crois. Nous avons passé tellement de temps dans le village que nous avons finalement dû renoncer à visiter le Muséoparc d’Alésia, pourtant tout près. Mais bah, ce n’est que partie remise. Un vol en hélicoptère et la visite d’un des plus beaux villages de France, c’est déjà pas mal pour une seule journée. A lire sur le site de cette expérience de vol en hélicoptère.

Il y a quelques semaines, c’est le cliché d’un chasseur américain, Bryan Kinsel Harlan, qui venait de tuer un markhor, animal emblématique du Pakistan, qui a fait polémique dans la presse locale. De son côté, le Huffington Post souligne que l’animal, une chèvre sauvage vivant dans la région de l’Himalaya, est inscrite comme « en danger » sur la liste rouge de l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature). Sur les réseaux sociaux, le cliché a fait polémique et les insultes se sont multipliées en direction du tireur. 110,000 – the highest ever – to kill a Markhor, Pakistan’s national animal. Au moment des faits, le chasseur aurait assuré auprès de son guide être « ravi de son trophée », soulignant qu’il s’agissait « d’un tir facile. » Le Washington Post précise que ses guides pakistanais croient savoir qu’il venait du Texas. Pourtant, comme le signale un second guide, l’état pakistanais autorise ce type de chasse, à hauteur de douze animaux par an et la chasse était donc légale. Tabarak Ullah, un chasseur professionnel qui a guidé Bryan Kinsel Harlan. Le sultanat d’Oman offre un voyage dépaysant au cœur de l’Arabie heureuse, à la recherche de l’arbre à encens du Dhofar et des ruines de la reine de Saba, près de Salalah, au nom chantant. Véritable anti Dubaï, Oman a banni les gratte-ciel de son paysage, et déploie mosquées et hôtels surgis d’un conte des mille et une nuits. Dans une région troublée, Oman est une destination sûre, authentique et préservée, où l’insécurité est inexistante. La montagne, le désert et la mer se sont réunis dans ce paradis des plongeurs et des randonneurs, qui vous emmène de surprises en surprises. On compare de nombreuses destinations aux contes des Mille et Une Nuits, appellation un peu trop facilement galvaudée. Pas au Sultanat d’Oman, où l’on s’attendrait presque à voir surgir un tapis volant et un génie de la lampe ! Dans l’oasis Wadi Bani Khalid, lorsque les températures flirtent avec les 40 °C, rien de tel que de se rafraichir dans les sources turquoises et délicieuses, dans un décor de rêve. Le soir, aucune pollution lumineuse ne vient cacher les myriades d’étoiles, que l’on admire depuis son luxueux campement dans le désert, au pied des hautes dunes de sables du Wahiba Sands. Les amateurs de culture seront ravis de visiter les villages fortifiés en pisé, les forteresses de montagne, les forts portugais de Mascate et les ruines de la civilisation de la reine de Saba du côté de Salalah. A Mascate, après avoir rendu visite à l’impressionnante mosquée du sultan Qaboos, on ira écouter un air d’opéra au Royal Opera House Muscat.

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